Pour renouer avec la croissance et l'emploi, nous devons baisser sans tarder les prélèvements obligatoires qui pèsent sur nos entreprises, en particulier pour celles qui sont confrontées à la concurrence internationale.
Avec le taux de prélèvements obligatoires sur les entreprises le plus élevé d'Europe (18,8% du PIB), les entreprises françaises sont fragilisées, peinent à se développer et à créer des emplois.
L'importance de ces cotisations sociales, impôts et autres taxes, a des conséquences sur la profitabilité de nos entreprises, qui est la plus faible d'Europe, et sur le niveau de leurs investissements (en capital matériel comme en capital humain), donc sur l'avenir de notre économie.
A certains programmes politiques qui envisagent de subventionner l'emploi, aggravant à nouveau les dépenses de l'Etat et le coût du travail, nous répondons qu'au contraire, pour renouer avec la croissance et l'emploi, nous devons commencer par encourager nos entrepreneurs, socle de notre prospérité !
Pour cela, baissons sans tarder les prélèvements obligatoires sur nos entreprises, en particulier pour celles qui sont confrontées à la concurrence internationale.
TPOE-France